A la vue à la mort (Françoise Guérin)

Ce polar a reçu le prix du premier roman du Festival de Cognac.

Un commandant de la police perd la vue après plusieurs meurtres commis par un tueur en série qui enlève les yeux de ses victimes. Les spécialistes ne peuvent rien pour lui et il est suivi par une psy. Il continue cependant l'enquête avec ses collaborateurs.

Je recommande chaudement ce polar même s'il reste assez classique dans le style.

Moi j'ai adoré et c'est très bien écrit.

Classique dans le style, mais la partie psy/Flic est réussie et particulièrement bien sentie. Et je me suis fait avoir, évidemment dans les dernières pages. Comme Cheyenne, j'ai été séduit par la qualité d'écriture.

Par ailleurs, Françoise guérin compose de superbes nouvelles.

Sans vouloir ennuyer le monde, je trouve vos commentaires vraiment pompeux et complètement inexpressifs. On pourrait parler de la même façon, exactement, de mille autres livres complètement différents. La seule différence, c'est que le titre et le nom de l'auteur sont indiqués en haut. C'est tout. Demain, je vous poste 300 chroniques de bouquins sur le même principe.

Ce premier roman a reçu le prix du clavier d'argent 2008.
L'intrigue est bien menée de bout en bout, les personnages fouillés de fond en fond et la chute nous cloue de sol en sol. Vraiment, c'est un bon roman. Comme Jean-Yves, je me suis laissé piéger à la fin. Voilà un roman qui ne devrait pas laisser indifférent le commun des lecteurs.

Quatre étoiles et demi.
Cinq étoiles.
Ne sait pas.
Demandez à votre voisin de palier.
Quatre étoiles virgule soixante et onze.
Et merde.

Et moi, sans vouloir t'ennuyer, je trouve qu'on attire mieux les mouches avec du miel que du vinaigre.

Et c'est quatre étoiles virgule septante-et-un

Sinon, je ne l'ai pas lu.

Les histoires de serial killers, ça m'ennuie. Je trouve ça facile et sans réel intérêt, d'autant plus que le méchant est toujours un psychopathe, ce qui induit une psychologie complètement à la masse où l'auteur ne doit pas trop se fouler.
Pourquoi celui-là sort-il du lot, alors ?
vos commentaires, madame et messieurs les jurés...

Isabelle Corlier a écrit:Et moi, sans vouloir t'ennuyer, je trouve qu'on attire mieux les mouches avec du miel que du vinaigre.

... j'ignorais que les mouches s'intéressaient aux polars.

Pas lu non plus. N'aime pas les serial-killers non plus, mais le pitch m'intrigue... A voir...

tu veux rire ? là où y'a des macchabées, y'a toujours des mouches !

Isabelle Corlier a écrit:tu veux rire ? là où y'a des macchabées, y'a toujours des mouches !

bien joué, Isa

Cyril Herry a écrit:Ce premier roman a reçu le prix du clavier d'argent 2008.
L'intrigue est bien menée de bout en bout, les personnages fouillés de fond en fond et la chute nous cloue de sol en sol. Vraiment, c'est un bon roman. Comme Jean-Yves, je me suis laissé piéger à la fin. Voilà un roman qui ne devrait pas laisser indifférent le commun des lecteurs.

Quatre étoiles et demi.
Cinq étoiles.
Ne sait pas.
Demandez à votre voisin de palier.
Quatre étoiles virgule soixante et onze.
Et merde.

Oui, je l'ai lu aussi. C'est bien. Sauf la fin, peut-être.

Isabelle Corlier a écrit:Et moi, sans vouloir t'ennuyer, je trouve qu'on attire mieux les mouches avec du miel que du vinaigre.

Et c'est quatre étoiles virgule septante-et-un

J'ai médité toute la journée sur ta remarque.
Je ne te croirais pas si tu disais que tu n'es pas un peu (un petit peu) d'accord avec moi.

Les suisses aussi, disent septante-et-un. Mais on ne vit pas sous la même longitude.
Je mettrai des chiffres la prochaine fois que je critiquerai un polar ici.

Méga cool, ce bouquin, tip top, vraiment.
Avec un méchant over méchant.
Mais où est passée ma boite à smileys ?
Et pierre qui roule n'amasse pas mousse.
Il n'y a pas de fumée sans feu.
L'habit ne fait pas le moine.

Ce que j'ai trouvé original c'est que le flic qui enquete devient aveugle et cet accident change la "vision" de son metier et de sa vie.

Désolé Cyril pour notre banalité ...

Vlan... la banalité...
Celle qu'il ne faut pas critiquer, ne pas toucher, ne pas même évoquer.

C'est si difficile que ça de mettre un peu de soi et de ses tripes dans un commentaire de livre ou de film qu'on a aimé (ou pas aimé, d'ailleurs) ?