Polar en plein coeur - Paris juin 2010

manuel, si tu y vas je t'invite à t'interesser au livre de Sébastien Rutès "la loi de l'ouest", un polar délirant mais très serieux en ce qui concerne le "western".

Aujourd'hui, salon Polar en Plein Coeur. Une première journée... heu, un peu calme, ainsi que vous le voyez sur la photo.

Fabienne et Hervé Sard dans une position compromettante.

Le tueur de la Somme et le hérisson.

Hervé Sard, très classe derrière son stand.

Gipsy Paladini, auteur de "Sang pour sang".

Gilles Gaillon pris en flagrant délit.

Guillon, le Gilles, pas Gaillon ! Merci Manuel pour les photos. Comme quoi ton appareil chinois, hein !? C'est vrai qu'il n'y avait pas foule ce vendredi (c'est normal, les parisiens sont au boulot...), mais Fabienne a fait un travail extraordinaire, et tout ça avec sourire, gentillesse et bonne humeur, comme si c'était pas sorcier de lancer un salon pareil... Extra, oui ! Et puis, rencontres avec la sympathique Gipsy, ma voisine de stand (Fabienne m'a gâté : j'étais entouré de poupées, et pas des poupées de salon : des vraies qui causent bien et qui écrivent aussi), avec Frédéric Fontès, Del Pappas, Fabien bien sûr qui n'est pas allé voir Fabienne (elle est furieuse et a noté sept fois ton nom au stylo rouge, je ne sais pas ce qu'il faut en penser...). Bref : Elisa et Paul, vous êtes attendus de pied ferme dimanche.

Pas beaucoup de monde, mais c'est normal que les Parisiens attendent les têtes d'affiche pour se pointer dimanche !

Dommage que tu ne sois pas là, Hervé, espèce de... Nantais !

Manuel, casaque mauve, toque argentée, a posé ses lunettes pour les photographes :

Deuxième journée au salon. Il y avait un peu plus de monde. J'en suis heureux pour Fabienne. J'ai vu des gens connus, comme Ingrid Astier et Lalie Walker. Pour ma part, je me suis installé au stand de Gipsy Paladini, et personne n'a pu m'en faire bouger.

Le stand de Polars en Nord :

Les stars du salon, tout sourire :

Un peu crispé le Popaul !

Manuel, je ne comprends plus rien !

Fabienne avait décidé, après plusieurs nuits sans sommeil à cause de ce forum, d'installer Elisa à GAUCHE de Paul. Des consignes strictes avaient été données aux agents de sécurité du salon dès l'ouverture (des fois qu'ils se pointeraient en avance), et des extras réservés pour toute la journée de dimanche.

Or, sur la photo, j'ai vérifié plusieurs fois, Elisa est à DROITE de Paul.

Et qu'on ne vienne pas me dire que les élections en Belgique sont responsables.

Deux chauves, un Jésus Christ et une nonne.

Manuel Ruiz a écrit:Deuxième journée au salon. Il y avait un peu plus de monde. J'en suis heureux pour Fabienne. J'ai vu des gens connus, comme Ingrid Astier et Lalie Walker. Pour ma part, je me suis installé au stand de Gipsy Paladini, et personne n'a pu m'en faire bouger.

Le stand de Polars en Nord :

Jeu : trouvez l'intrus.

Dans la collection "Polars en nord", un intrus s'est glissé parmi les couvertures. Saurez-vous le retrouver ?

Indice : Il porte un bandeau de couleur étrange : c'était plus cher de faire comme tout le monde, mais l'auteur est radin et l'éditeur pas moins...

Paul est non seulement un auteur de talent (si, si, j'insiste), mais aussi un imitateur hors-pair.

On a eu droit à un Léon Zitrone plus vrai que nature (et sans accent belge).

A Est-le-Bec, je te ferai Giscard et Enrico Macias.

Paul Colize a écrit:A Est-le-Bec, je te ferai Giscard et Enrico Macias.

Génial. Tu pourras me faire Garcimore aussi ?

Merci pour les photos.

On en parle ici :
http://tatarapporteuse.blogspot.com/2010/06/en-plein-coeur.html

Nikos a écrit:Merci pour les photos.

T'étais où toi ? On t'a pas vu ?

Coincé dans les toilettes !
et en plus les Wc étaient fermés de l'intérieur !!!

Nikos a écrit:On en parle ici :
http://tatarapporteuse.blogspot.com/2010/06/en-plein-coeur.html

Affligeant, écoeurant, misogyne, j'adore ces trucs pas signés !

Quand à Reboux, le pauvre, "censuré" parce qu'il veut faire la promo de son dernier bouquin contre Sarkosy dans un débat sur l'écriture du polar ! Bravo Nelly !!!

J'ai pas accès au blog du boulot.
Je regarderais de chez moi.