La troisième vague

En passant, quelques extraits de la presse déchainée mais unanime :

"La Troisième vague, un tsunami dans le monde de l'édition" Ouest France

"Avec "La Troisième vague" Paul Colize surfe sur les mots et merveilles de la littérature" Le Progrès

"Comme une lame de fond, un roman qui vous emmenera loin... très loin" Le Soir

"Paul Colize aime à bouleverser tous les codes du genre et son dernier roman "La troisième vague" n'a pas fini de faire des remous... " La Dépêche du Midi

Tu me fais marée.

Zut ! Ma vanne est tombée à l'eau...

"La troisième vague a troublé les horaires du Ferry Boat au Vieux Port. " ( La Provence)

"Un roman à contre-courant" Cosmopolitan

"Un roman qu'on lit en apnée" Asthmatique Magazine

Les chroniques ne vont pas tarder. Toujours est-il que Georges a largement battu le record du temps écoulé entre la remise du manuscrit et sa publication.

"A big surprise. "The third wave", the new sensation from the old Europe."
New-York Times

"Amazing ! Paul Coolise, the new wave comes from Belgium"
Washington Post

Bien recu, merci Paul. Je l'attaque dès que je fini le bouquin qu'une amie m'a demandé de lire...

Et bah moi je vais l'acheter cette nouvelle vague. Faut bien qu'il y ait au moins une vente ! Même si j'imagine que c'est un futur best seller ( Comme je dis à ma femme : "Je vais voir Paul Colize, le 14 mars !! elle : qui ? )

tu as demandé le divorce, au moins, j'espère...

"Le Play-boy du roman belge, Paul Colize, invite Isabelle Corlier à venir manger une frite pour fêter la sortie de "La troisième vague"... Anguille (de mer) sous roche ?" Voici

Ah zut, faut encore que je vous raconte ça...je vous préviens, c'est épique !

Fais gaffe ! Moi, j'ai des photos !!

L'auteur de ce blog est occupé à lire le roman :

http://bibliotheca.skynetblogs.be/post/2879938/index--belgique

(note de lecture en cours)

J'ai tout repris depuis le début et je viens de passer le chapitre où tu exposes en détails, Paul, la méthode employée par Keevee pour dévaliser les distributeurs de billets. Je me demande comment tu es parvenu à ficeler cette arnaque aussi brillamment, et si elle repose sur des faits réels, ou non.
Je note que tu parviens à livrer des explications parfois très techniques, sans pour autant tomber dans le mode d'emploi ou l'exposé pédagogique ; de ceux qui peuvent gâcher la littérature, souvent. Tu es vraiment à la limite, mais ça passe bien. Disons que ça s'inscrit dans la forme d'écriture qui caractérise le roman.

Il y a derrière cet épisode une anecdote personnelle.

J'ai travaillé dans l'univers des cartes magnétiques et tout ce qui tourne autour. Tout ce que je raconte est authentique et testé à l'époque par la société qui m'employait pour vendre aux banques des services sécuritaires.

Quand j'ai postulé pour un nouveau job dans une société de formation, on m'a demandé de faire un exposé de trois minutes maximum sur un sujet original. J'ai pris ce sujet et...j'ai été engagé.

Merci pour le compliment, Cyril.

"parlez de ce que vous connaissez" dit Robert McKee dans son livre "Story"...Paul, lui, il a pas besoin qu'on lui dise pour le savoir

Vaste débat en vigueur...
Qui induit "Ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas" ?
Ou "de ce que vous n'avez pas vécu" ?

tu confonds connaissance et vécu...pas bon, ça

C'est parce que j'ai bien cru que tu les confondais que j'ai réagi à ta remarque - puisque Paul semble avoir vécu personnellement cette expérience (vécu sa source, disons) et ne se contente pas de la connaître.
Me voilà rassuré.
Le débat n'aura pas lieu.

Ah ok.
Non, justement, je suis toujours très précise sur les mots que j'emploie, parce que les nuances qu'ils soulignent sont importantes.
Si l'on devait se baser sur le vécu, l'art serait si restreint qu'il en deviendrait inexistant (adieu, l'Histoire, la SF, la création, etc)...par contre, il n'y a rien de plus énervant qu'un auteur qui aborde un aspect technique sans, au moins, le comprendre. C'est frimeur et le lecteur sent qu'on le trompe.

heureusement qu'il ne faut pas avoir expérimenté le meurtre pour écrire des polars !

Ah bon ! mince alors... et un sac de chaux vive foutue en l'air pour rien...

Isabelle Corlier a écrit:(...) il n'y a rien de plus énervant qu'un auteur qui aborde un aspect technique sans, au moins, le comprendre. C'est frimeur et le lecteur sent qu'on le trompe.

Oui, ça peut donner des sujets qu'on a juste aperçus de loin, dans leurs grandes lignes, et qu'on aborde avec des pincettes qui n'apportent rien au lecteur quand il lit l'ouvrage. Autant regarder les actualités nationales ou lire un bon article dans le Monde.
La moindre des choses pour un auteur est de se mouiller un peu.