La troisième vague
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Re: La troisième vague
Mais j'adore les gens qui osent adapter la réalité à leur imaginaire, avec culot, bagout, brio. Ils créent un nouvel "univers", cohérent dans ses règles personnelles.
Isabelle Corlier- Synopsis
Re: La troisième vague
Je sépare les deux posts pour qu'il n'y ait pas de confusion.
(notes de lecture en cours)
Le chapitre sur les hackers (il concerne encore Keevee, dans La troisième vague) est assez réussi également. En l'occurrence, je n'ai pas eu l'impression de retrouver des copiés-collés d'articles de presse en lisant ; toujours pour la même raison : la façon d'introduire et d'exposer ce sujet très délicat colle très bien au style du bouquin ; ça s'emboîte parfaitement.
Le sujet est dans le vent et il promet de se télescoper avec une affaire criminelle qui remonte à 25 ans.
Je lancerai des fleurs à Paul en MP, mais là où j'en suis dans ma lecture, je comprends que La troisième vague ait été remarquée dans la course à la plume de cristal.
(notes de lecture en cours)
Le chapitre sur les hackers (il concerne encore Keevee, dans La troisième vague) est assez réussi également. En l'occurrence, je n'ai pas eu l'impression de retrouver des copiés-collés d'articles de presse en lisant ; toujours pour la même raison : la façon d'introduire et d'exposer ce sujet très délicat colle très bien au style du bouquin ; ça s'emboîte parfaitement.
Le sujet est dans le vent et il promet de se télescoper avec une affaire criminelle qui remonte à 25 ans.
Je lancerai des fleurs à Paul en MP, mais là où j'en suis dans ma lecture, je comprends que La troisième vague ait été remarquée dans la course à la plume de cristal.
Dernière édition par Cyril Herry le Jeu 12 Mar - 1:23, édité 1 fois
Cyril Herry- Phrase
Re: La troisième vague
Tu postes plus vite que ton ombre...Isabelle Corlier a écrit:Mais j'adore les gens qui osent adapter la réalité à leur imaginaire, avec culot, bagout, brio. Ils créent un nouvel "univers", cohérent dans ses règles personnelles.
D'accord avec toi.
Sans ça, la fiction n'a plus de sens.
Cyril Herry- Phrase
Re: La troisième vague
Et une bonne critique en plus :
http://www.biblioblog.fr/index.php/post/2009/03/11/La-troisieme-vague-Paul-Colize
http://www.biblioblog.fr/index.php/post/2009/03/11/La-troisieme-vague-Paul-Colize
Michel L.- Mot
Re: La troisième vague
Michel L. a écrit:Et une bonne critique en plus :
http://www.biblioblog.fr/index.php/post/2009/03/11/La-troisieme-vague-Paul-Colize
Par contre le style de l'auteur de la partie documentaire a été moins apprécié...
Michel L.- Mot
Re: La troisième vague
Sebastian Charles a écrit:Ah bon ! mince alors... et un sac de chaux vive foutue en l'air pour rien...
+1!
Jean-Christophe Gérard- Phrase
Re: La troisième vague
Tellement bon ce bouquin qu'aujourd'hui je me suis payé un Nikon D80...
Sebastian Charles- Pitch
Re: La troisième vague
Une autre critique flatteuse :
http://bibliotheca.skynetblogs.be/post/6805178/la-troisieme-vague---paul-colize---2008
http://bibliotheca.skynetblogs.be/post/6805178/la-troisieme-vague---paul-colize---2008
Michel L.- Mot
Re: La troisième vague
Félicitations, Paul,
pour ta réussite au concours VSD - nouvel auteur
et pour ta sélection dans le final de la Plume de Cristal
pour ta réussite au concours VSD - nouvel auteur
et pour ta sélection dans le final de la Plume de Cristal
Jan Thirion- feuille blanche
Re: La troisième vague
A mon tour d'y aller de ma petite critique. Il s'agit d'un copié-collé de la fiche postée sur mon blog. Excusez donc les éventuelles redites avec ce qui a été déjà dit sur ce fil.
Vassili Skolovski, photographe de presse est en reportage à Bagdad. Un soir, il reçoit un appel : Pierre, son meilleur ami, lui-même photographe, a été abattu à Bruxelles et n’a eu que le temps de composer son numéro avant de mourir.
Anéanti, Vassili rejoint aussitôt la capitale belge. Il apprend que durant son trajet, les assassins de son ami ont été jusqu’à pénétrer dans l’Institut Médico-légal pour détrousser le cadavre.
N’ayant pas confiance en la police locale, Vassili décide de mener l’enquête, en commençant par dénicher ce que les meurtriers n’ont pas réussi à retrouver : une carte-mémoire d’appareil photo.
L’intrigue de ce roman est très efficace et habilement structurée. Parallèlement à l’enquête de Vassili, l’auteur nous livre, à intervalles régulier, l’histoire d’un mystérieux escroc devenu hacker de génie, et surtout des chapitres où il nous retrace l’histoire des années de plomb belges, celle de ces mystérieux « Tueurs du Vendredi » qui ensanglantèrent le pays de 1982 à 1985 : chantage, meurtres, espionnage, terrorisme… tous les ingrédients sont réunis pour construire une intrigue solide et accrocheuse.
J’aime cette démarche qui consiste pour un auteur à partir d’un fait historique passé dans la mémoire collective, et d’y insérer une histoire fictive, mais avec suffisamment de talent pour que le doute s’insinue en nous et nous fasse hésiter sur la véracité ou non du propos. Mais Paul Colize n’est pas James Ellroy en ce sens qu’il annonce dès le départ que son histoire n’est qu’une fiction avec en arrière-plan, la réalité historique. Il ne nous livre donc pas la clé de cette énigme incroyable. Un passionnant dossier, signé Michel Leurquin, dans la deuxième partie du livre, nous retrace tout l’historique de ces années de plomb.
Passons maintenant au style : on le sait, rien de plus subjectif. Et ce que j’apprécie, chez un romancier, c’est qu’il ait une démarche, un angle d’écriture revendiqué et qu’il le défende. Paul Colize n’écrit pas : il taille. Au sécateur, à la serpe. On le devine le petit doigt en survol perpétuel de la touche Suppr, à la recherche de la redondance, à l’affût de l’adjectif de trop, traquant l’adverbe malheureux.
Le résultat est une écriture sèche, acérée, nerveuse. Phrases courtes, saccadées, presque oppressantes.
Pourquoi pas ?
Après tout, Vassili mène une course contre la montre : il doit remettre des documents avant une date butoir, sous peine que des malfaiteurs s’en prennent à son fils. L’écriture épouse donc la course du personnage : sans temps morts ni pause clope.
On objectera qu’un tel parti-pris peut rebuter les adeptes d’une écriture langoureuse et serpentine. Et l’on souhaiterait presque à l’auteur qu’il s’accorde parfois le temps d’une phrase de plus de deux lignes, qu’il nous gratifie d’une métaphore un peu plus suave. J’ai repéré, çà et là, quelques moments de tendresse, des fulgurances stylistiques qui donnent envie d’en lire davantage. Le temps de se réoxygéner avant une nouvelle plongée en apnée (apnée, troisième vague… C’est bon, vous avez pigé ?). Mais il s’agit d’un choix d’écriture, sans compromis.
Bref, très bon roman que cette Troisième Vague. Un roman qui ne se cherche pas, qui s’assume et le fait fort bien.
Paul Colize a entre autres écrit Quatre Valets et une dame, roman arrivé en finale du prix VSD du polar. Je vous en reparlerai plus tard. Très certainement en bien.
Vassili Skolovski, photographe de presse est en reportage à Bagdad. Un soir, il reçoit un appel : Pierre, son meilleur ami, lui-même photographe, a été abattu à Bruxelles et n’a eu que le temps de composer son numéro avant de mourir.
Anéanti, Vassili rejoint aussitôt la capitale belge. Il apprend que durant son trajet, les assassins de son ami ont été jusqu’à pénétrer dans l’Institut Médico-légal pour détrousser le cadavre.
N’ayant pas confiance en la police locale, Vassili décide de mener l’enquête, en commençant par dénicher ce que les meurtriers n’ont pas réussi à retrouver : une carte-mémoire d’appareil photo.
L’intrigue de ce roman est très efficace et habilement structurée. Parallèlement à l’enquête de Vassili, l’auteur nous livre, à intervalles régulier, l’histoire d’un mystérieux escroc devenu hacker de génie, et surtout des chapitres où il nous retrace l’histoire des années de plomb belges, celle de ces mystérieux « Tueurs du Vendredi » qui ensanglantèrent le pays de 1982 à 1985 : chantage, meurtres, espionnage, terrorisme… tous les ingrédients sont réunis pour construire une intrigue solide et accrocheuse.
J’aime cette démarche qui consiste pour un auteur à partir d’un fait historique passé dans la mémoire collective, et d’y insérer une histoire fictive, mais avec suffisamment de talent pour que le doute s’insinue en nous et nous fasse hésiter sur la véracité ou non du propos. Mais Paul Colize n’est pas James Ellroy en ce sens qu’il annonce dès le départ que son histoire n’est qu’une fiction avec en arrière-plan, la réalité historique. Il ne nous livre donc pas la clé de cette énigme incroyable. Un passionnant dossier, signé Michel Leurquin, dans la deuxième partie du livre, nous retrace tout l’historique de ces années de plomb.
Passons maintenant au style : on le sait, rien de plus subjectif. Et ce que j’apprécie, chez un romancier, c’est qu’il ait une démarche, un angle d’écriture revendiqué et qu’il le défende. Paul Colize n’écrit pas : il taille. Au sécateur, à la serpe. On le devine le petit doigt en survol perpétuel de la touche Suppr, à la recherche de la redondance, à l’affût de l’adjectif de trop, traquant l’adverbe malheureux.
Le résultat est une écriture sèche, acérée, nerveuse. Phrases courtes, saccadées, presque oppressantes.
Pourquoi pas ?
Après tout, Vassili mène une course contre la montre : il doit remettre des documents avant une date butoir, sous peine que des malfaiteurs s’en prennent à son fils. L’écriture épouse donc la course du personnage : sans temps morts ni pause clope.
On objectera qu’un tel parti-pris peut rebuter les adeptes d’une écriture langoureuse et serpentine. Et l’on souhaiterait presque à l’auteur qu’il s’accorde parfois le temps d’une phrase de plus de deux lignes, qu’il nous gratifie d’une métaphore un peu plus suave. J’ai repéré, çà et là, quelques moments de tendresse, des fulgurances stylistiques qui donnent envie d’en lire davantage. Le temps de se réoxygéner avant une nouvelle plongée en apnée (apnée, troisième vague… C’est bon, vous avez pigé ?). Mais il s’agit d’un choix d’écriture, sans compromis.
Bref, très bon roman que cette Troisième Vague. Un roman qui ne se cherche pas, qui s’assume et le fait fort bien.
Paul Colize a entre autres écrit Quatre Valets et une dame, roman arrivé en finale du prix VSD du polar. Je vous en reparlerai plus tard. Très certainement en bien.
Max Gillio- Synopsis
La déferlante !!!
Salut tout le monde !
Voilà que moi aussi je viens mettre mon grain de sel. Et oui ! La troisième vague a éclaboussé de mon bord itou. Je savais que c’était du bon qui m’attendait. Un Colize pour moi c’est gagnant. J’oserais même dire que ce fut le meilleur de tous ceux que j’ai lu. J’ai beaucoup aimé les précédents, dont je garde un excellent souvenir d’ailleurs et que je conserve bien précieusement. Mais retrouver en partant les images de la Toyota blanche garée le long d’une route est venue me chercher. Une amorce de raz de marée.
Peut-être parce que ça faisait un bon bout que je n’avais rien lu de la plume du sieur Colize, j'ai sentie une légère différence. Toujours la même plume vive et intelligente. Toujours un récit qui intéresse, captive, mais où j’ai eu l’impression d’une certaine retenue. Une pudeur dans les dialogues. Une réserve qui m’a surprise d’abord, mais que j’ai interprétée par le sérieux de la lame de fond qui ébranla la Belgique dans les années 80 et qui semble avoir laissée bien des cicatrices et des plaies non guéries.
J’ai tellement apprécié « La troisième vague » ! J’ai été de nouveau captive des mots de Paul Colize et me suis trouvée vraiment gâtée. Grand merci à la générosité de l’auteur qui a fait qu’une lectrice d’une lointaine contrée a pu se laisser porter sur sa vague pendant quelques moments.
Voilà que moi aussi je viens mettre mon grain de sel. Et oui ! La troisième vague a éclaboussé de mon bord itou. Je savais que c’était du bon qui m’attendait. Un Colize pour moi c’est gagnant. J’oserais même dire que ce fut le meilleur de tous ceux que j’ai lu. J’ai beaucoup aimé les précédents, dont je garde un excellent souvenir d’ailleurs et que je conserve bien précieusement. Mais retrouver en partant les images de la Toyota blanche garée le long d’une route est venue me chercher. Une amorce de raz de marée.
Peut-être parce que ça faisait un bon bout que je n’avais rien lu de la plume du sieur Colize, j'ai sentie une légère différence. Toujours la même plume vive et intelligente. Toujours un récit qui intéresse, captive, mais où j’ai eu l’impression d’une certaine retenue. Une pudeur dans les dialogues. Une réserve qui m’a surprise d’abord, mais que j’ai interprétée par le sérieux de la lame de fond qui ébranla la Belgique dans les années 80 et qui semble avoir laissée bien des cicatrices et des plaies non guéries.
J’ai tellement apprécié « La troisième vague » ! J’ai été de nouveau captive des mots de Paul Colize et me suis trouvée vraiment gâtée. Grand merci à la générosité de l’auteur qui a fait qu’une lectrice d’une lointaine contrée a pu se laisser porter sur sa vague pendant quelques moments.
Martine- feuille blanche
Re: La troisième vague
Et oui, bien vu, Isa.
Heureuse de t'accueillir en ces murs, Martine. Heureux que ce roman t'ait fait passer un bon moment. Et...merci de m'avoir aidé à construire la partie qui se passe dans ton beau pays.
Bonne analyse de la retenue dont tu parles et des raisons qui l'ont dictée. Les tueries sont encore fraîches dans les mémoires et surtout dans les mémoires des familles des victimes.
On espère te voir très souvent.
Heureuse de t'accueillir en ces murs, Martine. Heureux que ce roman t'ait fait passer un bon moment. Et...merci de m'avoir aidé à construire la partie qui se passe dans ton beau pays.
Bonne analyse de la retenue dont tu parles et des raisons qui l'ont dictée. Les tueries sont encore fraîches dans les mémoires et surtout dans les mémoires des familles des victimes.
On espère te voir très souvent.
Paul Colize- Synopsis
Re: La troisième vague
Ah oui, fou de joie de retrouver Martine !Paul Colize a écrit:
Heureuse de t'accueillir en ces murs, Martine. Heureux que ce roman t'ait fait passer un bon moment. Et...merci de m'avoir aidé à construire la partie qui se passe dans ton beau pays.
Moi aussi, elle m'avait aidé à me documenter quand j'écrivais "Le match de la semaine" (une de mes Chroniques de l'Etrange, qui se passe au Canada).
J'espère qu'elle reviendra souvent.
Manuel Ruiz- Pitch
Re: La troisième vague
Hello Isabelle ! Tu m’as reconnue à mon accent ?
Je fais ma comique, mais je suis vraiment contente de vous croiser de nouveau.
Plaisir égal pour moi Manuel.
Bonjour Paul, Zorro, Georges. Ça va me prendre un moment à m’y faire.
Comme je suis entrée sans façon, je crois que je vais aller faire une entrée un peu plus officielle.
Je fais ma comique, mais je suis vraiment contente de vous croiser de nouveau.
Plaisir égal pour moi Manuel.
Bonjour Paul, Zorro, Georges. Ça va me prendre un moment à m’y faire.
Comme je suis entrée sans façon, je crois que je vais aller faire une entrée un peu plus officielle.
Martine- feuille blanche
Re: La troisième vague
Commencé ce matin. 10ème chapître et je suis déjà épuisée pour ce pauvre Vassili. Je retrouve le rythme sans temps mort de "4 valets". Certains livres vous laissent des sensations. Lorsque je pense à "4 valets", j'ai un mec qui court dans la tête.
Elisa Vix- Synopsis
Et la quatrième ... vague ?
J'ai mis votre livre ainsi que le recueil de nouvelles sur le haut de ma pile
Je vous remercie de votre accueil en espérant que vous aimerez "Vague à l'âme".
Une revenante du salon du polar de Lens
Svetlana
Je vous remercie de votre accueil en espérant que vous aimerez "Vague à l'âme".
Une revenante du salon du polar de Lens
Svetlana
Anne- Phrase
Re: La troisième vague
Je viens de terminer la 3ème vague et je suis catastrophée. C'est bien plus grave qu'une absence de fellation avant la 50ème page. Avec Vassili et Macha, Paul Colize nous livre deux personnages dé-séxués.
Dans 100 ans les biographes se demanderont ce qu'il s'est passé dans la vie de l'auteur au moment de la rédaction de ce roman. Crise mystique ? Chirurgie de la prostate ? Toutes les options sont ouvertes...
Dans 100 ans les biographes se demanderont ce qu'il s'est passé dans la vie de l'auteur au moment de la rédaction de ce roman. Crise mystique ? Chirurgie de la prostate ? Toutes les options sont ouvertes...
Dernière édition par Elisa Vix le Lun 6 Avr - 15:49, édité 1 fois
Elisa Vix- Synopsis
Re: La troisième vague
C'est malin. J'avais lu le manuscrit et dit c'est bien. J'avais vu la couverture et pensé que c'était très bien. Maintenant, j'ai le livre sous la main, avec une dédicace Paul Colize pur jus (une sombre histoire de train électrique et de seins de femme). Chapeau. La mise aux enchères de la dédicace débutera fin avril à l'occasion du festival de Mauves.
Ben voilà, je ne sais plus quoi dire. Sinon bravo.
Ben voilà, je ne sais plus quoi dire. Sinon bravo.
Hervé Sard- Paragraphe
Re: La troisième vague
Encore de bons echos :
http://actu-du-noir.over-blog.com/article-32926646.html
http://actu-du-noir.over-blog.com/article-32926646.html
Geof- Paragraphe
Re: La troisième vague
La Troisième vague est chroniquée sur Pol'Art Noir.
A son propos, l'article évoque James Ellroy et David Peace.
Pas moins.
http://www.polarnoir.fr/livre.php?livre=liv941
A son propos, l'article évoque James Ellroy et David Peace.
Pas moins.
http://www.polarnoir.fr/livre.php?livre=liv941
Jean-Christophe Gérard- Phrase
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