Virginia Valmain

Elle est jeune (28 ans), habite du côté de Dunkerque et a la particularité d'exercer une profession habituellement masculine : détective privée.
Ne vous fiez pas à son âge, Virginia est une crack dans sa partie. La plupart des ses enquêtes sont payées par des commanditaires étrangers prêts à payer le prix fort pour s'assurer ses services.

Je l'ai rencontrée il y a presque un an, lors d'un salon auquel je participais. Elle ne m'a pas laissé indifférent, car outre une plastique avantageuse, il se dégage de sa personne une volonté des plus farouches

Elle fut attirée par la localisation dunkerquoise de mes polars, et c'est ainsi que nous fîmes connaissance. Au bout de quelques échanges, elle m'avoua qu'elle aurait bien voulu coucher sur le papier ses enquêtes les plus folles, mais qu'elle n'avait ni le temps ni le talent pour les écrire.

Elle avait donc pensé à moi.

Je lui objectais que, malheureusement, le cadre de mes aventures devait être la région du Nord.

Qu'à cela ne tienne, Virginia avait justement, parmi ses plus belles réussites, celle de la résolution des disparitions sur l'A 16 qui avaient tenu en haleine la presse européenne pendant des mois.

Elle mon confia donc ses souvenirs et ses notes que je m'empressai de romancer.

Afin de ma démarquer de ma série habituelle des Dacié, et pour coller à la personnalité fantasque de Virginia, je lui proposai une écriture nouvelle, décalée et humoristique. Elle fut enchantée du résultat.

J'espère qu'il en sera de même pour vous, le première aventure de Virginia Valmain sort très prochainement.

C'est elle ?

https://fr-fr.facebook.com/people/Virginia-Valmain/100000029290524

Oui, c'est elle.

Les quadriceps de footballeur, c'est pour mieux réfléchir ?

Je lui demanderai. Mais à mon avis, dans son métier, ça aide.

En tout cas, elle a quelques clients fidèles.
(c'est pas ton éditeur, dans le lot ?)

Paul Colize a écrit:En tout cas, elle a quelques clients fidèles.
(c'est pas ton éditeur, dans le lot ?)

Ben si, vu que maintenant, c'est devenu "notre" éditeur.

Je crois que je vais aller m'acheter un maillot de bain en cuir.

Eh bien ça y est ! J’ai le plaisir de vous annoncer la sortie de mon prochain roman, Les disparus de l’A 16, au mois de novembre, et toujours aux éditions Ravet-Anceau.

Enfin quand je dis mon prochain roman, je devrais plutôt écrire notre.

En effet, notez bien une bonne fois pour toutes qu’il ne s’agit pas encore du quatrième tome des aventures de Dacié et Marquet. Pas du tout.

Il s’agit des souvenirs d’enquête de la détective privée Virginia Valmain dont je vous ai déjà parlé.

Vous risquez fort d’être surpris par le style et l’univers de ce roman. En effet, afin de ne pas faire l’amalgame avec ma série habituelle, j’ai décidé, en accord avec Virginia, de raconter ses souvenirs de façon humoristique, presque parodique, et assez trash.

En gros, imaginez que San-Antonio, Quentin Tarantino et Les Nuls aient enfanté un alien. Ben en gros, avec toute la modestie qui me caractérise, c’est ce que vous allez découvrir.

Amateurs de bienséance et de bonnes manières, passez votre chemin, ce livre n’est pas pour vous.

Les autres, suivez-nous dans notre délire, chauffez vos zygomatiques et préparez un slip de rechange, on ne sait jamais.

Un mot sur l’intrigue : en six mois, cinq disparitions ont eu lieu sur l’autoroute A 16, à proximité du petit village de Saint-Folquin. Rien ne semble relier les disparus entre eux. Aucun point commun entre un camionneur anglais, un P.-D. G. belge, un footballeur allemand, une mère famille d’Angers et un restaurateur du Sud-ouest.

Et pourtant, ils se sont tous volatilisés.

Six mois que les polices du monde entier se cassent les dents sur ce mystère.

Heureusement, Virginia Valmain entre dans la danse avec son équipe de choc : Lao-Tseu, le géant malien, Mère-Grand, sa tante alcoolique et Curly, le… non, vous découvrirez assez vite pourquoi on le surnomme ainsi.

Ça donne envie, hein !

Pour les Nordistes, c’est désormais la tradition, un vernissage suivi d’un apéro sera organisé pour fêter l’événement.

N’étant pas de nature superstitieuse, il y a de fortes chances pour que ce vernissage ait lieu le vendredi 13 novembre. En espérant que la belle Virginia pourra se libérer de ses obligations à ce moment.

Mais je vous en reparlerai, comptez sur moi.

Si tu te déguises en Virginia pour le vernissage, je viens (enfin peut-être).

Prem's.

Je vous signale que Virginia Valmain existe, bande de nazes !

Mais s'il faut se déguiser pour le plaisir de vous avoir comme invités, je le fais sans hésiter une seconde.

Allez hop, la 4ème de couv :

"– Dans les mois qui suivent, ce sont trois nouvelles disparitions ! Deux hommes et une femme. Un Allemand et deux Français. Toutes dans les mêmes circonstances. On peut remonter leurs traces jusqu’à Saint-Folquin, mais après, nada ! On n’a absolument rien retrouvé. Ni véhicule, ni papiers, ni corps. Que dalle ! Des experts de tous pays et de tous horizons sont venus enquêter sur place, en vain. La seule chose dont on soit certain, c’est que les disparus ne se connaissaient pas. Sexes, âges, milieux sociaux, nationalités… Rien en commun, aucune connexion possible. Sinon, c’est le néant absolu, pour le plus grand bonheur des journalistes à sensations.
– Et de la belle et courageuse Virginia Valmain, exulte Mère-Grand, qui va damer le pion à la fine fleur de la flicaille mondiale, et se mettre accessoirement un joli magot de côté !
– T’emballe pas, Mère-Grand. C’est vrai que pour mon premier roman, ça la foutrait mal que je ne résolve pas le mystère, mais tu sais, dans la littérature d’aujourd’hui, plus rien ne m’étonne… "

Triste publicité pour la commune de Saint-Folquin : cinq personnes ont disparu aux abords du village et les polices du monde entier se cassent les dents sur ce Triangle des Bermudes à la sauce nordiste.
Jusqu’à l’arrivée de Virginia Valmain et de son équipe de choc. Mais attention aux éclaboussures ! Là où Virginia passe, les convenances trépassent.
Amateurs de bon goût et de bonnes manières s’abstenir, ce livre n’est pas pour eux.

Virginia Valmain est née à Dunkerque en 1978. Détective privée de renom, ses enquêtes l’amènent souvent à travailler à l’étranger.
Les disparus de l’A16 est né de sa collaboration avec Maxime Gillio, romancier dunkerquois.

J'étais prêt à me lancer à la découverte de ce roman, mais ayant vu l'auteur et un de ses comparses vandaliser mes pages facebook, je crois que je vais entamer un boycottage des oeuvres de ces 2 lascars !

Tu seras vite refoulé par la marée de fans.

Paf !

1048 mètres. Nouveau record au lancer de Hérisson.

Bravo, Paul !

Le hérisson est une espèce protégée.

Je vais contacter la SPA !

Fais gaffe, je connais des gitans qui raffolent de la chair de hérisson.

Bon sinon Max, plaisanterie mise à part, à quand une séance de dédicaces en région parisienne ?

Parce que bon, je suis monté à Templemars voir Franck, mais je ferais pas ça tous les jours.

Tu déconnes, Fabien ? Moi, je suis même pas connu à Dunkerque, alors Paris, hein ?

Cela dit, j'ai déjà signé à Avignon et à Grenoble, donc j'attends les invitations.

Mon éditeur m'a proposé Montigny en décembre, mais je suis pas dispo ce week-end-là.

Mais on peut couper la poire en deux (?), je suis au Touquet le 15 novembre !

Et moi au troquet le 16 !
Avec JBP

Max Gillio a écrit:Tu déconnes, Fabien ? Moi, je suis même pas connu à Dunkerque, alors Paris, hein ?

Cela dit, j'ai déjà signé à Avignon et à Grenoble, donc j'attends les invitations.

Mon éditeur m'a proposé Montigny en décembre, mais je suis pas dispo ce week-end-là.

Mais on peut couper la poire en deux (?), je suis au Touquet le 15 novembre !

Aarrgh. Moi le 15 novembre, je suis à Agen, pour un challenge avec l'association sportive de mon boulot.
Je pourrais pas être là non plus !!

Nikos a écrit:Et moi au troquet le 16 !
Avec JBP

Jean-Bernard Pouy ?

Jean-Baptiste Poquelin ?

Jus de Burne Pressée ?

Je Bois du Perrier.