Puisqu'il faut bien parler de soi...
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Fabien Herisson
Max Gillio
6 participants
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Puisqu'il faut bien parler de soi...
Pas l'exercice que je préfère, mais bon...
J'ai publié deux polars chez Ravet-Anceau : Bienvenue à Dunkerque (titre dont je ne suis pas du tout responsable) et L'abattoir dans la dune (là, c'est de moi...). Plutôt que de parler de ces titres, je vais vous présenter le projet dans son ensemble.
Ces deux livres constituent les deux premiers tomes d'une tétralogie. Bien sûr, on peut les lire dans l'ordre qu'on veut. Mais il y a malgré tout une chronologie et des personnages récurrents, Charles Dacié et Stéphane Marquet, mes deux flics.
Pourquoi une tétralogie ? Parce que j'avais envie de construire un cycle. Dans le premier, une question est posée : pourquoi Stéphane Marquet, jeune flic stagiaire originaire de Nice demande comme première affectation... Dunkerque ? Je distille des éléments de réponse dans les trois premiers, pour une révélation finale dans le 4ème. Mais comme je l'ai dit, chaque tome présente avant tout une intrigue indépendante.
Vous l'aurez deviné, je suis assez fan de certaines séries américaines, qui proposent toujours ces deux niveaux de lecture : l'intrigue qui dure un épisode, et en arrière-plan, le vécu de personnages qui évolue d'un titre à un autre.
Ma deuxième ambition était que chaque titre aborde un sous-genre du polar. Histoire de me trouver. Ainsi, Bienvenue à Dunkerque se situe du côté du polar social, politiquement engagé, sombre et assez désespéré. Le deuxième, L'abattoir dans la dune, lorgne vers la figure imposée du tueur en série, mais en jouant sur le stéréotype. Le troisième, déjà écrit et qui sortira début 2009, est un polar rural, plus humoristique et qui dresse un portrait chargé des mœurs flamandes.
Si vous ne deviez en lire qu'un seul, c'est sans hésiter que je vous conseillerais le second. En effet, ce n'est pas que je renie le premier (quoique..), mais bon, c'est un premier, avec tout ce que ça sous-entend de défauts : style qui se cherche (et ne se trouve pas...), maladresses, écrit avec le frein à main, etc. Le deuxième, sans que j'en sois totalement satisfait, s'est déjà affranchi d'un tas de barrières, et j'ai la prétention de penser qu'au niveau de l'écriture, il correspond davantage à ce que j'aimerais atteindre un jour. Il est d'ailleurs préfacé par Patrice Dard. Donc lisez le second, et vous aurez peut-être envie de découvrir le premier, en ayant en tête mes réserves sur l'écriture, et pour retrouver les personnages.
Il n'est pas facile de se le procurer en-dehors de la région, mais sachez que via mon blog (http://maximegillio.blogspirit.com), il y a moyen de le commander, et les frais de port sont symboliques.
Merci d'avoir lu ce message jusqu'au bout
J'ai publié deux polars chez Ravet-Anceau : Bienvenue à Dunkerque (titre dont je ne suis pas du tout responsable) et L'abattoir dans la dune (là, c'est de moi...). Plutôt que de parler de ces titres, je vais vous présenter le projet dans son ensemble.
Ces deux livres constituent les deux premiers tomes d'une tétralogie. Bien sûr, on peut les lire dans l'ordre qu'on veut. Mais il y a malgré tout une chronologie et des personnages récurrents, Charles Dacié et Stéphane Marquet, mes deux flics.
Pourquoi une tétralogie ? Parce que j'avais envie de construire un cycle. Dans le premier, une question est posée : pourquoi Stéphane Marquet, jeune flic stagiaire originaire de Nice demande comme première affectation... Dunkerque ? Je distille des éléments de réponse dans les trois premiers, pour une révélation finale dans le 4ème. Mais comme je l'ai dit, chaque tome présente avant tout une intrigue indépendante.
Vous l'aurez deviné, je suis assez fan de certaines séries américaines, qui proposent toujours ces deux niveaux de lecture : l'intrigue qui dure un épisode, et en arrière-plan, le vécu de personnages qui évolue d'un titre à un autre.
Ma deuxième ambition était que chaque titre aborde un sous-genre du polar. Histoire de me trouver. Ainsi, Bienvenue à Dunkerque se situe du côté du polar social, politiquement engagé, sombre et assez désespéré. Le deuxième, L'abattoir dans la dune, lorgne vers la figure imposée du tueur en série, mais en jouant sur le stéréotype. Le troisième, déjà écrit et qui sortira début 2009, est un polar rural, plus humoristique et qui dresse un portrait chargé des mœurs flamandes.
Si vous ne deviez en lire qu'un seul, c'est sans hésiter que je vous conseillerais le second. En effet, ce n'est pas que je renie le premier (quoique..), mais bon, c'est un premier, avec tout ce que ça sous-entend de défauts : style qui se cherche (et ne se trouve pas...), maladresses, écrit avec le frein à main, etc. Le deuxième, sans que j'en sois totalement satisfait, s'est déjà affranchi d'un tas de barrières, et j'ai la prétention de penser qu'au niveau de l'écriture, il correspond davantage à ce que j'aimerais atteindre un jour. Il est d'ailleurs préfacé par Patrice Dard. Donc lisez le second, et vous aurez peut-être envie de découvrir le premier, en ayant en tête mes réserves sur l'écriture, et pour retrouver les personnages.
Il n'est pas facile de se le procurer en-dehors de la région, mais sachez que via mon blog (http://maximegillio.blogspirit.com), il y a moyen de le commander, et les frais de port sont symboliques.
Merci d'avoir lu ce message jusqu'au bout
Max Gillio- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Il y a 35 ans, pile poil, on décrétait que le 28 juin serait la journée mondiale de la pornographie.
Coincidence, c'est également ce jour que naquit un cador du genre. Le roi du coup de butoir, de la brouette thaïlandaise, du développé-couché...
Un pornographe accompli que Brassens n'aurait pas renié.
Comment ne pas célébrer en ce jour de Noël (Ste Irénée. Irénée le divin enfant, jouez hautbois, résonnez musettes), l'anniversaire d'un trublion de la concupiscence et de la gauloiserie. Le tout de son cru.
Je te souhaite un bon anniversaire Max...
Coincidence, c'est également ce jour que naquit un cador du genre. Le roi du coup de butoir, de la brouette thaïlandaise, du développé-couché...
Un pornographe accompli que Brassens n'aurait pas renié.
Comment ne pas célébrer en ce jour de Noël (Ste Irénée. Irénée le divin enfant, jouez hautbois, résonnez musettes), l'anniversaire d'un trublion de la concupiscence et de la gauloiserie. Le tout de son cru.
Je te souhaite un bon anniversaire Max...
Fabien Herisson- Paragraphe
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Max Gillio a écrit:3 kilos, pourquoi ?
3 kilos ?
T'as choppé une saloperie qui t'a fait gonfler les testicules ?
Fabien Herisson- Paragraphe
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Oui, et je compte bien te la refiler samedi.
Max Gillio- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Je suis contre le cumul des mandats. J'ai déjà une syphilis !
Fabien Herisson- Paragraphe
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Non ? C'est l'anniversaire de Max ?
Je le crois pas.
Je le crois pas.
Paul Colize- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
C'est vrai, personne ne me l'a souhaité sur Facebook (putain, j'ai des ampoules au bout des doigts d'avoir répondu à des gens que je connais même pas...).
Max Gillio- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
C'est ça d'être gentil, drôle, spirituel...
Elisa Vix- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Bon anniversaire ( en retard - j'avais pas compris que c'était ton anniversaire )
Nikos- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Elisa Vix a écrit:De ses asticots ?
Houla. Toi, t'es mal !!!
Fabien Herisson- Paragraphe
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
C'est pas de ma faute, m'sieur, je suis en train de lire "Les disparus...", ça déteint.
Elisa Vix- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Ma mère a lu Les disparues de l'A16. Elle a bien aimé.
Nikos- Synopsis
Re: Puisqu'il faut bien parler de soi...
Elisa Vix a écrit:De ses asticots ?
Allez les vers !
Max Gillio- Synopsis
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