Le bûcher de la salamandre
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Sebastian Charles
Novi
Jean-Christophe Gérard
Hervé Sard
Rebus
Paul Colize
10 participants
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Le bûcher de la salamandre
Très discret, Jean-Christophe.
Heureusement, on veille au grain :
http://www.rayonpolar.com/Polars/Polars_texte.php?table=g&nom=GERARD&prenom=Jean-christophe&titre=Le+b%FBcher+de+la+salamandre#CLAUDE%20LE%20NOCHER
Heureusement, on veille au grain :
http://www.rayonpolar.com/Polars/Polars_texte.php?table=g&nom=GERARD&prenom=Jean-christophe&titre=Le+b%FBcher+de+la+salamandre#CLAUDE%20LE%20NOCHER
Paul Colize- Synopsis
Re: Le bûcher de la salamandre
Si tu n'as pas lu le livre et qu'on te demande si tu l'as lu, tu dis "ouais, heu, c'est cette histoire de femme qui disparaît à Valenciennes ? Ouais, heu, j'l'ai lu".
Paul Colize- Synopsis
Re: Le bûcher de la salamandre
Claude l'a lu et apprécié. Il ne dit jamais de mal des livres qu'il n'aime pas. Bravo JC
Hervé Sard- Paragraphe
Re: Le bûcher de la salamandre
Rebus a écrit:Je l'ai commandé.
Sans bandeau rouge (supplément : 1€50).
Hum… Je vois qu'ils t'ont fait un prix... Il y a des Ravet-Anceau "sans bandeau rouge" qui s'arrachent sur ebay pour beaucoup plus que ça…
Jean-Christophe Gérard- Phrase
Re: Le bûcher de la salamandre
Je me suis demandé pourquoi il cadrait ainsi sa photo...
Maintenant, je sais.
Cela dit, bravo pour l'article.
Maintenant, je sais.
Cela dit, bravo pour l'article.
Paul Colize- Synopsis
Re: Le bûcher de la salamandre
Paul Colize a écrit:Je me suis demandé pourquoi il cadrait ainsi sa photo...
Maintenant, je sais.
Je n'aurais pas du tant lire Lawrence Block... Il s'est développé comme un mimétisme...
Jean-Christophe Gérard- Phrase
Re: Le bûcher de la salamandre
Scusez moi du peu, mais dans l'article de ce brillant journaliste de la Croix là ; c'est normal : Raymond Schandler !
Je sais, on va accuser l'imprimeur ..arf arf
Je sais, on va accuser l'imprimeur ..arf arf
Novi- Paragraphe
Re: Le bûcher de la salamandre
Novi a écrit:Scusez moi du peu, mais dans l'article de ce brillant journaliste de la Croix là ; c'est normal Raymond Schandler !
Je sais, on va accuser l'imprimeur ..arf arf 8)
Il y a, effectivement, une désolante coquille — d'autant plus regrettable, lorsqu'on considère qu'il s'agit d'un article consacré à l'auteur d'un polar et qu'il mentionne, certes, le maître du genre.
Et que l'article, de surcroît, est publié sur un forum de polardeux...
Mais je n'avais pas jugé nécessaire d'avertir de cette coquille, pariant sur le fait que les habitués du polar et du forum allaient rectifier d'eux-mêmes... Et faire preuve d'indulgence, compte tenu que, dans l'ensemble, le portrait est plutôt bien tourné et sympathique...
L'auteur de l'article, que j'ai rencontré à l'occasion de ce la préparation de ce portrait, est un très jeune homme, et je le trouve effectivement, pour reprendre vos termes, brillant. Il était très positivement curieux, soucieux de bien faire, attentif, extrêmement empathique, et j'ai été plutôt bluffé de voir comment il avait su restituer mes propos, tenus au cours d'une conversation à bâtons rompus.
Eu égard à la complaisante propension chronique avec laquelle vous nous infligez ce que nous avons la générosité de considérer comme des fautes de frappe à longueur de messages que vous prenez soin de ne pas relire, je crois qu'une fois encore vous auriez mieux fait de vous abstenir.
Jean-Christophe Gérard- Phrase
Re: Le bûcher de la salamandre
Mais étant connu comme un total autodidacte, effectivement, ma remarque était pleine d'indulgence ......n'ayant relevé que le coté drolesque de l'erreur ....
Mon avis sur la nature même de ce genre d'interview étant tout autre, vous vous en doutez bien ; je vous en ferai donc grace.
Mon avis sur la nature même de ce genre d'interview étant tout autre, vous vous en doutez bien ; je vous en ferai donc grace.
Novi- Paragraphe
Re: Le bûcher de la salamandre
Novi a écrit:
Mon avis sur la nature même de ce genre d'interview étant tout autre, vous vous en doutez bien ; je vous en ferai donc grace.
C'est trop aimable.
Jean-Christophe Gérard- Phrase
Re: Le bûcher de la salamandre
Fait pas attention... En tout cas toutes mes félicitations pour ce premier et pour la bonne promo que tu lui consacre.
Sebastian Charles- Pitch
Re: Le bûcher de la salamandre
Une nouvelle chronique lui est adressé ici :
http://action-suspense.over-blog.com/article-27340971.html
http://action-suspense.over-blog.com/article-27340971.html
Paul Colize- Synopsis
Re: Le bûcher de la salamandre
Tu ressembles un peu au Professeur Choron sur la photo... Une bonne référence.
André Toutou- Paragraphe
Re: Le bûcher de la salamandre
André Toutou a écrit:Tu ressembles un peu au Professeur Choron sur la photo... Une bonne référence.
Mouai, par contre, suis pas sur que Choron lui
Novi- Paragraphe
Re: Le bûcher de la salamandre
Fabien Gabryel est prof de philo, hypocondriaque et écrivain en mal d’inspiration. Introverti jusqu'à la moelle, il louvoie entre déprime et dépression, entre bière forte et pilules bleues. Mais sa vie ne serait somme toute qu’un purgatoire bien ordinaire s’il n’avait la mauvaise idée de répondre à un appel téléphonique qui s’en va inexorablement l’amener aux portes de l’enfer.
Rien de bien réjouissant. De fait.
D’autant que livre est dans sa majeure partie le long soliloque de Fabien qui décrit au travers de sa vision embuée ses états d’âme et les événements qui se précipitent autour de lui.
Rien de bien réjouissant.De fait.
Sauf que Jean-Christophe Gérard va nous la jouer en mode décalé.
Première partie : plus Fabien s’empêtre dans le piège qui se referme sur lui, plus le lecteur (que je suis) jubile. Chaque phrase détient son lot de cynisme, de cruauté ou d’obscure fatalité. De temps à autre, j’ai arrêté ma lecture pour lire une phrase à ma femme : « et celle-là, écoute celle-là ». Elle me regardait comme on regarde une tranche de pain dans un toaster en panne et répondait « Oui, bon, et qu’est-ce que ça a de drôle ? », exactement comme lorsqu’on débarque au milieu d’un film des frères Coen et qu’on regarde ce qui se passe pendant trois minutes en se demandant pourquoi tout le monde semble se marrer. C’est comme ça. On est « dedans » ou on n’est pas « dedans ». J’ai adoré ce début, parce que je suis entré « dedans » dès la première page. Certaines scènes, décrites sur un ton détaché et fataliste, sont à se taper sur les cuisses.
Vers la fin de cette première partie, l’auteur commet le crime de passer sans crier gare de la première à la troisième personne, démarche surprenante, évitable selon moi, qui casse quelque peu le rythme et a freiné mon enthousiasme.
La seconde partie est un dialogue, utile pour l’histoire, certes, mais moins jouissif et un peu longuet à mon goût.
La troisième partie est plus sombre, bien foutue, très « tarantinesque » dans sa mise en scène.
La quatrième partie propose un dénouement inattendu, machiavélique et d’une insondable noirceur.
Un ton, une ambiance. Très belle réussite que ce premier roman !
Rien de bien réjouissant. De fait.
D’autant que livre est dans sa majeure partie le long soliloque de Fabien qui décrit au travers de sa vision embuée ses états d’âme et les événements qui se précipitent autour de lui.
Rien de bien réjouissant.De fait.
Sauf que Jean-Christophe Gérard va nous la jouer en mode décalé.
Première partie : plus Fabien s’empêtre dans le piège qui se referme sur lui, plus le lecteur (que je suis) jubile. Chaque phrase détient son lot de cynisme, de cruauté ou d’obscure fatalité. De temps à autre, j’ai arrêté ma lecture pour lire une phrase à ma femme : « et celle-là, écoute celle-là ». Elle me regardait comme on regarde une tranche de pain dans un toaster en panne et répondait « Oui, bon, et qu’est-ce que ça a de drôle ? », exactement comme lorsqu’on débarque au milieu d’un film des frères Coen et qu’on regarde ce qui se passe pendant trois minutes en se demandant pourquoi tout le monde semble se marrer. C’est comme ça. On est « dedans » ou on n’est pas « dedans ». J’ai adoré ce début, parce que je suis entré « dedans » dès la première page. Certaines scènes, décrites sur un ton détaché et fataliste, sont à se taper sur les cuisses.
Vers la fin de cette première partie, l’auteur commet le crime de passer sans crier gare de la première à la troisième personne, démarche surprenante, évitable selon moi, qui casse quelque peu le rythme et a freiné mon enthousiasme.
La seconde partie est un dialogue, utile pour l’histoire, certes, mais moins jouissif et un peu longuet à mon goût.
La troisième partie est plus sombre, bien foutue, très « tarantinesque » dans sa mise en scène.
La quatrième partie propose un dénouement inattendu, machiavélique et d’une insondable noirceur.
Un ton, une ambiance. Très belle réussite que ce premier roman !
Paul Colize- Synopsis
Re: Le bûcher de la salamandre
ça donne envie de le lire ! ... faut que j'aille voir ça de plus près ...
SpécialeKa- Paragraphe
Re: Le bûcher de la salamandre
Quatre petites étoiles en plus pour notre ami Jean-Christophe.
http://www.polarnoir.fr/livre.php?livre=liv876
http://www.polarnoir.fr/livre.php?livre=liv876
Paul Colize- Synopsis
Re: Le bûcher de la salamandre
Jean-Christophe, créateur d'atmosphères...?
Cliquez ici
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Paul Colize- Synopsis
Re: Le bûcher de la salamandre
J'ai lu... et j'ai beaucoup aimé la plume et l'humour de Jean-Christophe.
Et du coup j'ai bassiné quelques libraires autour de moi. C'est une façon comme une autre de donner de la visibilité à des livres trop souvent écrasés par les grosses pointures.
Euh, il chausse du combien J-C G ?
Et du coup j'ai bassiné quelques libraires autour de moi. C'est une façon comme une autre de donner de la visibilité à des livres trop souvent écrasés par les grosses pointures.
Euh, il chausse du combien J-C G ?
Fabienne- Lettre
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